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Comment construire et déployer sa démarche RSE ?

Comment construire et déployer sa démarche RSE ?

Être conscient des attentes de ses parties prenantes en matière de responsabilité sociétale, comprendre les bénéfices liés à la mise en œuvre d’une démarche RSE sont, avec la volonté du dirigeant d’inscrire son entreprise dans un modèle contributif, des éléments déclencheurs de l’engagement RSE (voir nos articles : Manager sa Responsabilité Sociétale d’Entreprise : quelles attentes vis-à-vis de votre entreprise ? et Votre démarche RSE est un levier de performance globale et durable).

Alors même que certains dirigeants ont compris l’intérêt d’en faire un levier stratégique et un projet d’entreprise, engager, déployer et pérenniser une démarche RSE peut sembler complexe.

Quitter le stade des actions éparses et ponctuelles…

Si, en 2021, 85 % des PME françaises déclarent avoir déjà mis en place des actions RSE au sein de leur organisation, seules 24 % d’entre elles reconnaissent que ces actions ont été formalisées au sein d’une vraie stratégie RSE et seulement 14 % affirment avoir intégré la RSE à leur stratégie globale de développement.

Il est ainsi tout à fait courant, et même tentant, de se réfugier derrière des actions ponctuelles, tous azimuts et éloignées du quotidien de l’entreprise.

L’absence de cohérence est cependant synonyme d’impact limité et les bénéfices évoqués dans un article précédent ne sont que faiblement tangibles. Diverses raisons expliquent que les entreprises en restent trop souvent au stade de pratiques, certes positives, mais sans lien entre elles et sans objectif stratégique. Cette situation peut être le fruit :

  • d’une volonté initiale qui s’est essoufflée
  • de demandes clients trop hétérogènes
  • d’une mauvaise appréhension de domaines d’actions RSE extrêmement variés
  • d’un manque de priorité accordé à un projet pourtant pertinent uniquement s’il reste ancré dans l’activité
  • d’un défaut d’identification des enjeux pertinents

… pour construire une démarche RSE impactante et valorisable.
Près de la moitié des entreprises ont des difficultés à déployer la RSE par manque de connaissances du sujet et 73% d’entre elles trouvent qu’il est difficile de définir des objectifs pour sa démarche RSE et d’en mesurer l’impact.
L’ISO 26000, la norme de référence en matière de responsabilité sociétale, est un guide précieux pour toute entreprise qui veut structurer son approche et la décliner de manière convaincante. S’il s’agit d’un support utile, il semble cependant complexe et peu abordable lorsqu’on s’y plonge pour la première fois.

Comment s’y prendre alors pour transformer ses pratiques en engagements responsables formalisés dans une stratégie RSE pour l’entreprise et partagés avec ses parties prenantes ?

Une chose est certaine : si l’exercice n’est pas facile, il est particulièrement enrichissant et à plus d’un titre.

Se former ou se faire accompagner peut être utile, que ce soit sur un diagnostic de pratiques pour mieux appréhender des sujets variés et imbriqués, sur une analyse de matérialité pour poser les bases de sa
démarche ou sur le déploiement du projet.

Socle de toute démarche RSE pertinente et efficace, l’analyse de matérialité permet d’identifier les enjeux prioritaires auxquels répondre, en tenant compte des objectifs de l’entreprise, des attentes des parties prenantes et des risques et opportunités. Un exercice qui requiert d’être abordé avec méthode pour apporter clarté et cohérence à la démarche d’une part, visibilité et engagement aux acteurs qui la mettent en œuvre d’autre part. Pouvoir définir un cheminement dans lequel les différents acteurs connaitront leur rôle et seront conscients de leur contribution reste ainsi un facteur clé du succès de la démarche RSE.

A partir de là, formaliser ses engagements et les inscrire dans sa stratégie en cohérence avec son écosystème, les décliner en actions opérationnelles et pertinentes, structurer un reporting à la fois efficace et porteur de sens, valoriser sa démarche et la faire évaluer sont autant d’étapes qu’il est
intéressant d’envisager en amont de l’aventure RSE : si chaque démarche RSE est à l’image de l’entreprise qui la porte, les outils et les conditions pour la construire et en faire un projet collectif et pérenne nécessitent ainsi d’être compris et maitrisés.

  • Audavia vous propose à présent des formations pour construire votre démarche RSE :
  • S’approprier les fondamentaux de la RSE et les étapes d’une démarche RSE
  • Mieux identifier ses enjeux pour projeter sa stratégie RSE grâce à l’analyse de matérialité
  • Cartographier ses parties prenantes et engager le dialogue
  • Valoriser et faire évaluer sa démarche RSE

Nous sommes à votre écoute pour répondre au mieux à vos besoins en déclinant ces formations selon vos objectifs.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

inscription rse pour la performance d'entreprise

Votre démarche RSE comme un levier de performance globale et durable

Conscients des attentes de leurs parties prenantes en matière de RSE (Responsabilité Sociétale d’Entreprise), les dirigeants ont besoin d’identifier clairement ses bénéfices pour engager leur entreprise dans une démarche organisée et pertinente. Cela leur permet de passer d’une logique de redevabilité ou de conformité à une logique d’opportunité, d’une contrainte de court terme à un projet d’entreprise, créateur de valeur et inscrit dans le moyen / long terme.

Adopter une vision élargie de la création de valeur…

Si les évaluations de retour sur investissement en matière de RSE tendent à se développer, il reste toujours délicat, et parfois impossible, de déterminer ce qu’un tel engagement rapporte comptablement : la plupart des rendements sont intangibles, non monétisables et rarement de court terme alors même qu’ils ont un impact fort sur la création de valeur dans, par et pour l’entreprise.
Accroître le bien-être, la productivité et l’attachement de ses collaborateurs, renforcer sa marque employeur ou son image de marque sont quelques-uns des nombreux exemples de création de valeur immatérielle.

S’engager en RSE c’est aussi :

  • s’offrir une réflexion globale et sans la pression de l’urgence pour s’interroger sur sa pérennité et son business model
  • ouvrir le champ des possibles tout en identifiant mieux les risques en amont, qu’ils soient environnementaux, juridiques, financiers, sociaux ou réputationnels.
  • poser un autre regard sur son activité et ses pratiques au quotidien pour améliorer son fonctionnement interne et partenarial
  • interagir avec ses parties prenantes (que l’on aura pris soin d’identifier) pour accélérer l’innovation et anticiper les évolutions du marché
  • anticiper les contraintes, réglementaires ou de marché
  • faciliter son accès à des financements

Certains diront qu’il faut aussi piloter le court terme et la trésorerie ; ils sont inquiets à l’idée de perdre leur temps, leur énergie et leur argent. … Si la préoccupation est légitime, la démarche RSE a ses bénéfices même sous cette focale : elle peut engendrer des économies opérationnelles souvent non négligeables, dès lors qu’on s’attelle à la baisse des consommations d’énergie et des factures d’achats, la réduction des pertes matières ou encore la diminution du risque d’accidents, de l’absentéisme, de la contribution AGEFIPH…

D’autres enfin estimeront qu’impliquer ses équipes pour contribuer aux enjeux environnementaux et sociaux n’est pas rentable… jusqu’à ce qu’ils adoptent le prisme d’un projet RSE qui fait grandir l’entreprise, contribue à sa pérennité à moyen long terme et à son développement commercial à court terme.

Quelle valeur doit-on en effet attribuer à une démarche RSE qui, construite et valorisée, permet de déclencher un renouvellement de contrat auprès d’un client stratégique ou le gain d’un appel d’offres auprès d’un prospect convoité ?

Déployer une démarche RSE pour contribuer et en rendre compte de façon
crédible

Afin que les bénéfices évoqués ici soient tangibles, il s’agit pour le dirigeant et ses équipes de s’engager de manière pertinente et efficace.

Comment ? en structurant son projet, en le déployant en cohérence avec les objectifs de l’entreprise mais aussi au bénéfice de ses parties prenantes, en lui donnant du sens (voir notre article Comment construire et déployer sa démarche RSE ?).

Dans cette optique, la démarche RSE permet de limiter les impacts négatifs et de maximiser les impacts positifs. La démarche est alors crédible pour les acteurs, nombreux, qui ont des attentes vis-à-vis de l’entreprise (voir notre article Manager sa Responsabilité Sociétale d’Entreprise). Crédible, elle le devient aussi pour ceux qui la portent : elle est plus facilement valorisable, différenciante et pérenne.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Responsabilité Sociétale d’Entreprise

Manager sa RSE : quelles attentes vis-à-vis de votre entreprise ?

« Responsable », « durable », « neutralité carbone », « transition », « éthique »… ces mots sont omniprésents dans l’actualité des derniers mois. Au-delà du « bruit » autour de la responsabilité sociétale des entreprises, la prise en compte des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux par les entreprises – car la RSE c’est cela – est, aujourd’hui plus que jamais, attendue de la part de toute société, quel que soit son secteur d’activité ou sa taille.

Certains y voient une contrainte de plus… d’autres, de plus en plus nombreux, l’envisagent comme une opportunité, une manière de revisiter l’entreprise, son activité, ses missions, son fonctionnement…en douceur ou de manière plus radicale mais, dans tous les cas, avec des bénéfices tangibles à la clé…

Des attentes tous azimuts à prendre en compte

A l’heure où embauche de collaborateurs et rétention des talents sont des problématiques majeures, quelques chiffres issus d’études récentes éclairent sur les liens entre engagement RSE de l’entreprise et attentes des collaborateurs :

  • 78% des salariés opteraient, à offres équivalentes, pour une entreprise engagée dans la transition écologique
  • 86 % des salariés en poste considèrent que la RSE est un sujet important ou prioritaire
  • 40% des collaborateurs indiquent que l’engagement RSE de leur entreprise renforce leur fierté d’appartenance
  • 62% des jeunes sont prêts à refuser un poste dans une entreprise qui manque d’engagement social/environnemental

Pour accéder à de nouveaux marchés ou renouveler ses contrats, justifier d’actions RSE, ou mieux, d’une démarche RSE construite et active, est un sésame qui tend à se répandre pour travailler avec les donneurs d’ordre, publics comme privés. De levier de différenciation commerciale, l’engagement RSE devient progressivement un incontournable des appels d’offres, parfois même un pré-requis pour déposer son mémoire technique.
Ainsi, d’après l’étude « La parole aux fournisseurs » :

  • plus de 70% des fournisseurs interrogés sont régulièrement sollicités par
    leurs clients sur les sujets de RSE
  • dans 79% des appels d’offres, la RSE est abordée. Evolution également en B to C du côté des consommateurs, avec la prise en compte des enjeux RSE comme un élément de choix qui s’affirme au moment de l’acte d’achat…

Même constat du côté des partenaires d’affaires des entreprises :

  • 88% des sociétés de gestion private equity intègrent les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leurs décisions d’investissement
  • 71% des investisseurs se disent prêts à annuler un investissement si les critères ESG/RSE ne sont pas bons

Au-delà des chiffres évoqués ci-dessus, la réalité de cette tendance s’inscrit également dans le droit : depuis la loi Pacte, entrée en vigueur en 2019, l’article 1833 du Code Civil a été complété, imposant à chaque société d’être gérée « dans son intérêt social, en prenant en considération les enjeux sociaux et environnementaux de son activité ».
Depuis plusieurs années, la pression réglementaire s’accroît, impactant de plus en plus d’acteurs économiques. Il est à noter que dans les mois à venir, le périmètre des sociétés soumises à l’obligation de reporting RSE vis-à-vis du droit européen sera étendu. Dès janvier 2023, ces obligations s’appliquent en effet à un plus grand nombre d’entreprises. L’approche RSE concernant l’ensemble de la chaine de valeur se traduira par une exigence accrue vis-à-vis de leurs fournisseurs.

Faire face à la « pression RSE » …

Ce tour d’horizon illustre la montée en puissance d’une certaine forme de « pression RSE » de la part des parties prenantes de l’entreprise, quelles qu’elles soient. Pression qui peut devenir une opportunité pour tout dirigeant qui décide de l’envisager comme telle parce qu’il en a compris tous les bénéfices (voir notre article Votre démarche RSE est un levier de performance globale et durable).

D’après une étude réalisée par Bpifrance Le Lab, 90% des dirigeants de PME et ETI françaises mènent des actions RSE alors qu’ils n’ont aucune obligation de publier un rapport dédié.
Un chiffre qui démontre que, longtemps considérée comme un sujet réservé aux grands groupes, la RSE est bien présente au-delà des grandes entreprises. Pour autant, l’absence de démarche structurée et partagée ne joue pas en faveur de l’efficacité et de la visibilité de ces démarches : elles restent alors un atout parcellaire pour l’entreprise et vis-à-vis de ses partenaires.

Ainsi, seuls 50% des dirigeants de PME/ETI estiment avoir une véritable démarche RSE et 25% une démarche avec un plan d’actions à court ou moyen terme (voir notre article Comment construire et déployer sa démarche RSE ?).

Tout pour réussir…

Les PME et les ETI ont pourtant tout pour réussir en la matière : réactivité forte, circuit de décision court, capacité à se remettre en cause et à innover rapidement, relations de confiance et proximité avec leurs principaux partenaires… Armer le dirigeant et ses équipes pour intégrer la RSE au quotidien et à la stratégie de l’entreprise permet d’aborder sereinement et efficacement la RSE et de répondre aux attentes explicites et implicites rappelées ici.

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reconversion-professionnelle-formation

Préparer ma reconversion professionnelle

Le parcours professionnel a beaucoup évolué depuis la génération précédente. En effet, aujourd’hui un emploi ou métier n’est pas identique tout au long de notre carrière. C’est pourquoi, certaines périodes de vie nous conduisent à envisager la reconversion professionnelle.
La reconversion va au-delà du simple fait de changer d’emploi, elle donne une nouvelle direction à votre activité professionnelle, que vous restiez salarié ou que vous décidiez de vous lancer à votre compte, c’est également un tournant pour sa vie personnelle.

Pourquoi envisager une reconversion professionnelle ?

Il est important de noter que ce repositionnement est parfois long et demande un certain investissement, c’est pourquoi il faut envisager ce choix pour les bonnes raisons.
En effet, un climat défavorable dans votre environnement professionnel actuel n’est pas suffisant pour faire ce choix de changement. La reconversion doit être réfléchie et liée à un souhait de transformation complète de votre activité.

A SAVOIR : 2 français sur 3 veulent changer de travail. Mais combien le font vraiment ?

Voici les principales raisons d’une reconversion :

  • Apprendre de nouveau : développer ses compétences ou apprendre un nouveau métier
  • Améliorer ses conditions de travail : l’ennui, la surcharge, adapter son emploi du temps aux contraintes familiales…
  • Revenir à ses premiers souhaits : parfois forcé(e) d’emprunter une voie professionnelle, la reconversion peut être l’objet d’un réajustement de ses envies.
  • Devenir Indépendant : c’est le principal motif de reconversion. Envie d’un nouveau challenge, besoin d’autonomie, de respecter ses valeurs professionnelles et personnelles…

Les étapes de la reconversion professionnelle

Vous avez validé votre souhait de changer de voie et de vous lancer dans un nouveau projet professionnel ? Félicitations ! Maintenant, il va vous falloir envisager plusieurs étapes, pour que vos envies prennent forme.

Par où commencer ? Voici quelques étapes de préparation avant de vous lancer :

  1. Analyser votre situation actuelle : faites un état des lieux complet de votre situation personnelle et professionnelle afin de définir vos compétences, vos envies, vos contraintes…
  2. Mettre de côté les barrières psychologiques : à 15 ans votre rêve était de travailler de vos mains ? Il n’est peut-être pas trop tard pour y réfléchir…
  3. Parlez-en autour de vous : il est parfois difficile d’être objectif, vos proches le seront davantage.
  4. Evitez la précipitation… Une reconversion se prépare et s’organise, soyez patient !

C’est décidé, le changement professionnel est au rendez-vous… Concrètement, que faire ?

  1. Nous vous conseillons de débuter ce virage à 180° par un bilan de compétences, il vous permettra d’évaluer objectivement vos compétences et vos aptitudes dans certains domaines, ce bilan peut révéler de bonnes surprises.
  2. Formez-vous : une fois le profil professionnel déterminé, passez à la formation pour acquérir les compétences nécessaires à cette nouvelle étape de carrière. Il existe de nombreuses possibilités de formations prises en charge alors n’hésitez pas.
  3. Refaites votre CV (curriculum vitae) et mettez à jour vos profils sur les réseaux sociaux (LinkedIn, Viadeo…) : ils seront votre vitrine, bien valoriser ces supports peut être un réel atout.

La reconversion vers la création d’entreprise

L’une des plus fortes aspirations qui poussent à se reconvertir est la recherche d’une plus grande autonomie professionnelle. Cette autonomie professionnelle peut s’acquérir en créant une micro-entreprise ou une entreprise, pour laquelle différents statuts juridiques sont possibles.
Il existe de nombreuses solutions pour entreprendre et pour être accompagné tout au long de ce changement de vie. Une fois de plus, être bien informé(e) mais aussi formé(e) est la clé de réussite de votre nouvelle activité. La création d’entreprise nécessite une grande polyvalence, il est donc indispensable de bien évaluer vos compétences et d’y ajouter les éléments qui vous manquent.

LE SAVIEZ-VOUS ? Un Français change en moyenne 3 fois de vie professionnelle. Dans le contexte actuel d’un marché de l’emploi en mutation, chacun se trouve confronté à des évolutions professionnelles qui passent souvent par la reconversion.
Découvrez nos formations « création d’entreprise » sur mon compte formation.gouv.fr si vous souhaitez mobiliser votre CPF.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr).
Audavia est en cours de certification pour QUALIOPI et reste d’ici 2022 Datadocké.

Bien choisir sa formation

Que ce soit dans le cadre de l’évolution d’un poste ou pour une reconversion professionnelle , le choix de votre ou vos formations est essentiel pour valider votre objectif. Il est indispensable de valider en amont vos possibilités de formation et l’organisme qui peut vous accompagner. Nous vous recommandons donc de vous rapprocher d’un professionnel compétent. Dans ce cadre, Audavia peut répondre à toutes vos interrogations .

Afin de vous aiguiller dans votre volonté d’améliorer vos compétences, on pourrait faire 2 catégories de parcours : les formations de perfectionnement, qui vous permettront d’évoluer dans votre secteur d’activité actuel et les formations de reconversion, qui vous aideront à aborder sereinement un virage dans votre vie professionnelle.

Les formations de perfectionnement

Votre emploi évolue, vous souhaitez gravir un nouvel échelon ou tout simplement accéder à un poste plus qualifié ? Il peut être important, voire indispensable, de suivre une ou plusieurs formations afin de prétendre à ces changements.
Voici quelques exemples de formations qui peuvent, le cas échéant répondre à vos besoins de perfectionnement :

  • Formation digitale : la communication en entreprise a fait un grand pas vers le digital, il peut être utile de développer vos compétences sur les réseaux sociaux, la rédaction web, la e-réputation, le web marketing…
  • Formation linguistique : votre entreprise se développe à l’international ou vous voulez postuler dans une nouvelle structure ? L’apprentissage ou la remise à niveau dans une ou plusieurs langues vivantes (anglais, chinois, espagnol…) peut être la clé de votre réussite !
  • Formation management : votre expérience dans votre secteur vous amène prochainement à gérer ou entourer des équipes ? Votre atout réussite pour le poste, et ensuite dans la pratique, passe par des compétences spécifiques.
  • Formation informatique : aujourd’hui cette thématique est au cœur de tous les métiers. Parfois il vous manque juste quelques éléments pour performer dans votre poste actuel ou pour postuler à un nouvel emploi, il existe des formations dédiées.

Les formations de reconversion

Certains tournants professionnels sont l’objet de remise en question qui peuvent aboutir à la nécessité de formations permettant de faire de tous nouveaux apprentissages, éloignés de votre poste actuel. Changement de carrière ou création d’entreprise sont des situations qui rendent la formation indispensable et clé dans votre réussite.
Ce type de formations permet d’élargir votre champ de compétences :

  • Formation commerciale : vous êtes spécialisé(e) dans un secteur, vous avez un produit ou service à valoriser mais il vous manque la connaissance des techniques de vente, les astuces pour mettre en avant votre savoir-faire…
  • Formation administrative : dans le cadre d’une création d’entreprise la comptabilité, les ressources humaines ou la gestion de paye sont des pôles incontournables pour gérer le quotidien de votre entreprise.
  • Formation finance : également indispensable pour tous créateurs ou dirigeants de société, ce type d’apprentissage (business plan, tableau de bord, analyse et gestion financière…) sera au cœur d’un bon pilotage de votre entreprise.

Bien choisir son programme de formation et être bien accompagné dans celui-ci peut vous permettre d’optimiser vos acquis et de développer les compétences idéales à votre carrière et vos choix professionnels.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr).
Audavia est en cours de certification pour QUALIOPI et reste d’ici 2021 Datadocké.

Dotations salariés : L’Espace Des Employeurs et des Financeurs (EDEF)

Depuis le 3 septembre 2020, les employeurs peuvent abonder le compte formation de leurs salariés. L’occasion pour eux de développer leur formation professionnelle dans un objectif professionnel interne ou externe à l’entreprise.

Attribution de la dotation formation

Chaque employeur doit verser à ses salariés des droits acquis au titre de l’activité professionnelle et ce dans le cadre du droit à la formation de chacun.

Qu’est-ce qu’une dotation ?

La dotation, ou plutôt son attribution, consiste à verser sur les comptes professionnels de formation des salariés des droits formation qui viendront en complément de ceux déjà existants, permettant ainsi d’augmenter les compétences de ses salariés et de co-financer les formations. Ce complément de droit à la formation par le biais de la dotation, sera enregistré et disponible sur l’espace Mon Compte Formation du salarié.

Comment attribuer une dotation ?

Motif de la dotation
Précision Dotation à attribuer
Projet de formation défini & Alimenter les comptes formations Dotation du montant souhaité pour augmenter le « budget formation » et inciter à la formation Dotation volontaire
Accord collectif prévoyant une alimentation plus favorable Dans le cadre d’un accord de ce type, il est attribué aux salariés concernés le montant défini par l’accord Droits supplémentaires
3000€ de droits correctifs liés aux entretiens professionnels A verser à la suite du bilan des entretiens professionnels, réalisé au bout de 6 ans, si les obligations ne sont pas remplies Droits correctifs
3000€ de droits formation liés à un licenciement En application d’un accord de performance collective, en cas de licenciements pour refus de modification du contrat de travail, engendrée par cet accord, vous devez verser aux salariés concernés une dotation d’un montant de 3000€ minimum. Dotation salariés licenciés

La mise en place de l’espace des employeurs et des financeurs (EDEF)

Afin de faciliter aux employeurs ces démarches pour la formation professionnelle de leurs salariés dans le cadre du CPF, il leur suffit de se connecter en ligne et de suivre le processus suivant :

  1. Se connecter à l’espace employeur sur www.net-entreprises.fr, il suffit de procéder à la demande via « mon compte formation ».
  2. Se rendre sur le site EDEF (24 heures après l’inscription sur net-entreprises.fr) et créer un compte pour pouvoir effectuer les démarches.
  3. Choisir l’attribution des dotations en sélectionnant le type de dotation et le mode de saisie, en étant muni du numéro de sécurité sociale et du nom de naissance de chaque salarié, ainsi que du montant à lui attribuer.
  4. Le paiement se fait par virement bancaire auprès de la caisse des dépôts.
  5. Une fois le paiement réceptionné, les dotations sont attribuées aux bénéficiaires sous leur espace moncompformation.gouv.fr qui pourront ensuite les mobiliser, au même titre que leurs autres droits.

Retrouvez tous les démarches via la plaquette en ligne mon compte formation.

PETIT RAPPEL :  les chefs d’entreprises et travailleurs non-salariés peuvent aussi bénéficier d’accompagnement à la formation.

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Travailleurs non salariés et formations

L’accès à la formation professionnelle est souvent associé au statut de salarié… Or il existe des solutions pour permettre aux dirigeants non salariés (auto-entrepreneur, indépendants, professionnels de santé…) de pouvoir également bénéficier d’opportunités pour se former dans leur entreprise.

Le fonctionnement des cotisations pour la formation

BON A SAVOIR : Qu’est-ce que la Contribution Formation Professionnelle (CFP) ?

Pour les travailleurs indépendants et les micro-entrepreneurs qui souhaitent effectuer une formation professionnelle et qu’elle soit prise en charge, ils doivent verser en février de chaque année une contribution à la formation professionnelle (CFP).

Qui doit payer la contribution à la formation professionnelle ?

L’ensemble des entreprises sont concernées par la participation au financement des actions de formation continue de leur personnel et des demandeurs d’emploi, en payant une contribution annuelle, quel que soit leur nombre de salariés, la nature de leur activité et leur statut juridique (entreprise individuelle ou société). Son montant dépend du nombre de salariés. Tout comme pour les entreprises, les travailleurs non salariés (TNS) payent une cotisation auprès de l’URSAAF, dans ce même objectif qu’est le droit à la formation. Leur CFP fait donc partie intégrante des cotisations URSSAF des TNS et est fonction de leur rémunération, et non du nombre de salariés au sein de leur entreprise, s’il y en a.

Qui bénéficie des formations professionnelles ?

Les formations étaient orientées jusqu’à présent de façon significative vers les salariés des entreprises. Or il est possible pour les entrepreneurs individuels, travailleurs non salariés (TNS) de pouvoir bénéficier de la même façon de la formation continue tout au long de leur carrière professionnelle.

La prise en charge des formations pour les travailleurs indépendants

En contrepartie de la Contribution à la Formation Professionnelle (CFP) imposée aux travailleurs non salariés, ils peuvent, sous certaines conditions, bénéficier du financement total ou partiel de leurs formations. Cette mesure est également valable pour les conjoints collaborateurs si la CFP-conjoint a été payée et qu’ils dépendent d’un Fonds d’Assurance Formation (FAF), déterminé en fonction de la nature de leur activité.

Comment obtenir des financements ?

Jusqu’à présent, le financement des formations pour les TNS était uniquement lié au code NAF de l’entreprise. Désormais, il est également possible de compléter ce droit en établissant un dossier de droit à la formation, via votre compte sur www.moncompteformation.gouv.fr.

Vos droits à la formation ont dû être alimentés en 2020 au titre de vos activités 2018 et 2019. En cas de pleine activité sur ces deux années, le montant des droits est de 860 €. Il peut être complété si besoin par une demande auprès d’un FAF ou OPCO (Opérateur de Compétences). Les droits sont calculés au prorata de la période d’activité déclarée à l’ACOSS (il s’agit de la caisse nationale des URSSAF. Elle assure la collecte des cotisations destinées à garantir le financement du modèle social français, et leur redistribution.)

BON A SAVOIR : Les démarches, dans le cadre d’un financement par un FAF, sont à effectuer au minimum 1 mois avant de débuter une formation et doivent être faites pour chacune des formations s’il y en a plusieurs.

PETIT RAPPEL

Pour les personnes qui étaient salariés avant le 1er janvier 2015, date de passage du DIF (Droit Individuel à la Formation) au CPF (Compte Personnel de Formation), il est important de penser à saisir vos heures sur votre CPF avant le 31 décembre 2020. La démarche s’effectue en ligne sur le site « mon compte formation ».
La déclaration de la contribution à la formation professionnelle (CFP) est à effectuer avant mars 2021.
Pour définir l’ensemble des possibilités de financement de la formation professionnelle aux employeurs, consultez notre article sur Chef d’entreprises : formez-vous !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr).
Audavia est en cours de certification pour QUALIOPI et reste d’ici 2021 Datadocké.

Co-financer votre formation : les nouvelles possibilités !

Le droit à la formation est valable pour tous les actifs : salariés, professions libérales ou non-salariés, conjoints collaborateurs, mais aussi pour les personnes à la recherche d’un emploi.

Pour accéder à cette opportunité professionnelle, vous disposez d’un Compte Personnel de Formation (CPF), qui vous suit durant toute votre vie professionnelle. Pour rappel, le CPF a remplacé le Droit Individuel à la Formation (DIF), depuis le 1er janvier 2015.

Depuis le 3 septembre 2020, les salariés ont de nouveaux droits pour accéder à la formation. On vous en dit plus.

L’employeur peut abonder le CPF de ses salariés

Depuis la création du DIF/ CPF, les salariés avaient à disposition un crédit annuel de base de la caisse des dépôts, en fonction de leur contrat de travail. Il était donc possible d’accéder à des formations dans le cadre de la montée en compétences au sein de l’entreprise ou pour le développement individuel de chacun.

Aujourd’hui, chaque employeur dispose d’un accès simplifié pour abonder ce compte salarié CPF. Ce dernier vient donc s’ajouter aux droits de base. Cette nouveauté devait être mise en place en milieu d’année mais les conditions sanitaires ont décalé le projet à cette rentrée scolaire.

Il est donc possible, à présent et en collaboration avec l’entreprise d’augmenter son capital CPF et d’accéder aux formations souhaitées via le compte en ligne https://www.moncompteformation.gouv.fr/

Comment alimenter le CPF ?

Cette dotation de l’entreprise peut se présenter sous plusieurs formes :

  • Sur la base du volontariat de l’employeur, par exemple, si ce dernier souhaite développer les compétences de son équipe dans un domaine utile à l’entreprise.
  • Sur demande d’un projet de formation du salarié, l’entreprise peut alimenter ce compte permettant ainsi un accompagnement financier pour payer le reste à charge du compte.
  • Les versements obligatoires :
    •  lors du licenciement d’un salarié pour le refus d’un accord collectif, l’employeur doit réaliser un paiement d’un minimum de 3.000 euros
    • si l’entreprise ne respecte pas ses obligations en termes d’entretien professionnel (à compter de janvier 2021).
    • Pour les actifs chômeurs, il y a aussi des solutions d’accompagnement financier sur le crédit du CPF, par pôle emploi. Pour en savoir plus, cliquez ici

Dans tous les cas, il est possible de financer ou co-financer à titre personnel sa formation via le portail mon compte formation.

Côté employeur…

Côté entreprise, l’objectif était de faciliter l’accès et les possibilités des dirigeants, dans la démarche de crédit sur le compte de formation. L’employeur peut tout effectuer via une plateforme internet, en quelques clics seulement.

Pour cela, l’entreprise souhaitant abonder d’un crédit supplémentaire un ou plusieurs de ses salariés se rend sur le portail de déclarations sociales Net-entreprises.fr. Il doit y renseigner quelques données sur les salariés pour lesquels il souhaite réaliser un abondement CPF et le montant qu’il souhaite leur verser. Il suffit ensuite de réaliser un virement à la Caisse des dépôts, qui elle-même crédite directement les comptes de formation des salariés concernés.

Un projet de formation peut donc être l’objet d’un échange avec l’employeur afin qu’il puisse faciliter la montée en compétences de ses salariés, et, par la même occasion, de son entreprise !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail.

Audavia est en cours de certification pour QUALIOPI et reste d’ici 2021 Datadocké.

Chef d’entreprise : formez-vous !

Lorsque l’on parle de formation professionnelle, on pense souvent à la formation des collaborateurs salariés, des demandeurs d’emploi ou porteurs de projets. Mais qu’en est-il des chefs d’entreprise ?

Pourquoi la formation professionnelle quand on est chef d’entreprise ?

Le marché du travail, les technologies, les techniques de management ou bien encore les réglementations sont autant de points qui définissent le fonctionnement d’une entreprise et qui évoluent constamment. Pour être à la hauteur de ses responsabilités et faire performer son activité, le chef d’entreprise doit maîtriser ces évolutions.

Habituellement perçue comme une perte de temps, la formation professionnelle et personnelle sont pourtant un investissement indispensable afin de rester compétitif en matière de compétences et d’innovations. Être dirigeant et se former, c’est non seulement valoriser son image, mais c’est aussi et surtout mettre toutes les chances de son côté pour être compétent et performant sur le long terme.

Zoom sur les financements possibles :

Suivant votre statut, vous pouvez peut-être bénéficier d’un financement ou d’une aide à la formation professionnelle.

Les travailleurs non-salariés (TNS) cotisent obligatoirement au financement de la formation professionnelle, via une contribution spécifique auprès d’un organisme collecteur.

Le code NAF de l’entreprise permet de vous aider à déterminer l’organisme dont vous dépendez.

Voici les organismes qui se partagent la gestion des TNS :

  • AGEFICE (www.agefice.fr) finance les formations des dirigeants non-salariés des secteurs du commerce, de l’industrie et des services.
  • FIFPL (www.fifpl.org) est le Fonds Interprofessionnel de Formation des Professionnels Libéraux (à l’exclusion des médecins).
  • Le FAFCEA (www.fafcea.com) pour les artisans non-salariés
  • La Chambre des métiers de votre région pour tout professionnel non salarié (artisan) inscrit au répertoire des métiers.
  • FAF PM (www.fafpm.org) est réservé aux médecins ayant un exercice libéral et à leur conjoint collaborateur.
  • FAF PECHE (www.spppcm.fr) pour les dirigeants non-salariés du secteur de la pêche et des cultures marines.

Les règles de gestion et financement varient grandement entre ces différents OPCO (Opérateurs de Compétences).

Les dirigeants d’entreprise peuvent également bénéficier d’un crédit d’impôt sur leur formation jusqu’au 31 décembre 2022. Tous les statuts de dirigeants sont concernés à l’exception des micro-entrepreneurs. Vous trouverez les explications relatives à ce dispositif sur le site www.economie.gouv.fr.

Nouveauté : Les TNS auront leurs droits à la formation crédités sur 2020 au titre de leurs activités en 2018 et 2019, consultez votre CPF. Les droits sont calculés au prorata de la période d’activité déclarée à l’ACOSS.

N’hésitez pas à contacter votre région qui peut aussi être une source d’aide et de financement.

Quelle(s) formation(s) suivre ?

Le panel de formations professionnelles étant tellement large, qu’il est parfois difficile de savoir précisément laquelle choisir pour soi (voire ses équipes).

Voici quelques points essentiels à prendre en considération pour vous aider à faire le bon choix :

  1. Le thème : comme nous le disions précédemment, le catalogue sur le marché du travail est large. C’est pourquoi, vous devez connaître vos attentes et vos objectifs et pour cela, nous vous recommandons de prioriser vos objectifs. En effet, si votre priorité semble être d’améliorer le dialogue avec vos équipes ou leur organisation, vous vous orienterez vers une formation « Management ». Si par contre, vous souhaitez connaître les clés d’une communication efficace sur les réseaux sociaux, c’est donc vers une formation « Communication Digitale » qu’il va falloir vous orienter…
  2. Le budget : faite le point avec les différents interlocuteurs mentionnés plus haut dans cet article, discutez-en avec votre comptable et vous pourrez déterminer le budget que vous allez investir dans votre formation.
  3. Le temps : dépendant entre autres de votre budget, le temps que vous consacrerez à la formation est un investissement important. Nous savons comme il est difficile pour les chefs d’entreprise de s’absenter de leurs responsabilités. Cependant, il faut bien comprendre que la formation est indispensable à la réussite de leurs fonctions. Alors, réfléchissez à votre organisation et trouvez le planning qui vous conviendra le mieux. Chez Audavia, vous programmez vos sessions de formation directement avec le formateur, afin de vous aider à vivre pleinement ce temps pédagogique, tout en maîtrisant la poursuite de votre activité professionnelle.
  4. Le lieu : suivant le type de formation que vous choisirez, il vous faudra peut-être vous déplacer. Si vous ne disposez pas du temps nécessaire pour vous déplacer ou si vous souhaitez absolument que la formation ait lieu en extérieur de l’entreprise pour pouvoir vous concentrer au maximum, cela pourra déterminer le type de formation que vous choisirez. Chacun de nos centres disposent d’une salle de formation que nous mettons à votre disposition. De plus, nos formateurs sont mobiles et souples afin de répondre à vos contraintes logistiques.

L’ADN d’Audavia étant le sur mesure, nous passons justement en revue ces éléments ensemble dans le but de mettre en place une formation personnalisée qui corresponde exactement à vos attentes et besoins.

Souvent oubliée, la formation professionnelle des dirigeants est pourtant un élément clé de la réussite d’une entreprise. Donc, il est temps de vous former ! Et n’hésitez pas à nous contacter si vous avez la moindre question.

L’externalisation de la formation : un gain de temps pour vous !

L’univers de la formation et ses réglementations sont en constante évolution et l’État tend à faire de la formation une véritable priorité pour les entreprises.

Le contexte actuel de chômage couplé à la crise économique et sanitaire ne fait que favoriser cette tendance afin de préserver l’emploi en renforçant les compétences des salariés.

Pour les entreprises, la gestion du plan de développement des compétences des différents salariés est extrêmement chronophage et demande rigueur administrative et logistique ainsi qu’une veille continue des évolutions réglementaires. Chez Audavia, nous vous proposons de prendre en main tout cela grâce à une externalisation de la formation.

Externaliser la formation : en quoi cela consiste ?

Externaliser la gestion des formations de votre entreprise permet de vous libérer de cette charge administrative conséquente. Audavia peut vous proposer de le faire de la manière suivante :

  • Nous vous accompagnons sur l’élaboration de votre plan de développement des compétences. En étroite collaboration, nous établissons ensemble les priorités à donner à certaines thématiques de formation et certains collaborateurs, tout en prenant en considération les meilleurs dispositifs de financement envisageables. La prise en considération des différents paramètres de votre entreprise, permet de faire des propositions adaptées à votre stratégie, vos salariés et votre budget.
  • Nous montons les dossiers administratifs et vous aidons à identifier les meilleurs dispositifs de financement. C’est certainement l’une des parties administratives les plus chronophages pour vos équipes et que nous prenons en charge de A à Z. Nous agissons en votre nom et communiquons avec votre OPCO ainsi que les salariés et managers concernés.
  • Nous sélectionnons les meilleurs experts (formateurs) pour permettre à vos collaborateurs de bénéficier de formations sur mesure, en adéquation avec leurs objectifs et la stratégie de l’entreprise. Nous travaillons avec des consultants formateurs qui partagent nos valeurs pédagogiques (rigueur et qualité) et qui vivent pour leur passion de l’enseignement. Nous mettons tout en œuvre pour que chaque stagiaire ressorte satisfait et reparte avec des compétences supplémentaires au-travers de nouveaux acquis bien ancrés.
  • Nous partageons avec vous les bilans et retours de chaque formation afin que vous puissiez réaliser un suivi précis pour chaque collaborateur années après années.

De plus, en faisant ce choix vous diminuez le nombre d’interlocuteurs et donc favorisez la communication entre les différents acteurs. Ainsi, vos salariés se sentiront plus écoutés et valorisés, l’organisme collecteur saura vers qui se tourner et vos équipes administratives seront soulagées.

Enfin, vous êtes sécurisé sur la qualité de la prestation de formation. En disposant d’un interlocuteur unique en qui vous avez confiance, vous savez que chaque formation sera à la hauteur de vos attentes.

Comment mettre en place cette externalisation ?

Il vous suffit de prendre contact avec nous afin de réaliser ensemble un point sur votre fonctionnement actuel et vos attentes. Nous prendrons ensuite le temps de discuter en équipe de la meilleure solution d’accompagnement possible basée sur la taille de votre entreprise, vos attentes et les objectifs définis ensemble.

Pour cela vous pouvez nous contacter via notre formulaire ou bien nous appeler au 0805 690 063 (numéro gratuit).